Apôtre zélé des ‘faux orphelins’ roumains qu’il ‘sauvait’ à coups de lobbys sulfureux, cet ancien financier à la banque Lazard Frères et administrateur à l’Institut Pasteur, et homme très influent aux relations professionnelles avec des figures comme Valéry Giscard d’Estaing, Bernard Arnault, George Soros, Tony Blair et Arielle Malard de Rothschild n’a vu aucune nécrologie publiée en sa mémoire.
Chers adoptés nés en roumanie ,
François Polge de Combret, décédé le 8 octobre 2025 à Londres, était une figure opportuniste de ce scandale qui nous a arrachés à nos racines.
Fondateur de l’Ong SERA (Solidarité Enfants Roumains Abandonnés) en 1990 dont il a présidé le Conseil d’administration jusqu’à la fusion avec l’Ong Care France en 2003. Il est accusé d’avoir orchestré un système intéressé : sorties massives d’enfants via l’adoption internationale, visas médicaux frauduleux, sans consentement des familles biologiques, transformant notre douleur en marchandise sous couvert d’humanitaire.
Des archives comme la base de données d’Act (Against Child Trafficking) (2) montrent des critiques dès 1990 sur ses méthodes « pro-domo » (intéressées), et des alertes ignorées depuis plus de 25 ans (ex. : ambassade française à Bucarest en 2001).
Dès les années 90, une note du cabinet Delors critique explicitement une opération d’adoption internationale de 10 000 à 20 000 enfants comme incompatible avec la dignité de la Roumanie, accusant de Combret de critiques systématiques et répétitives qui détournent les services de leur tâche prioritaire d’œuvrer pour les enfants.
Pourtant, en mars 1993, Mr Jacques Delors (Président de la Commission Européenne de 1985 à 1995) a personnellement validé une opération d’adoption internationale massive, contrastant avec les critiques internes de son cabinet.
Comment expliquer cette incohérence, si ce n’est par l’influence des lobbies comme celui de Combret ?
Archives déclassées Cabinet de Mr Delors-2024-ACT
D’autres archives du cabinet Delors (déclassifiées en 2024 de 45 pages) révèlent que l’UE a alloué des millions d’ECU (Unité de compte européenne) pour l’aide aux orphelins roumains dès 1990 (budgets pour médicaments, nourriture, réhabilitation via ONG comme Croix Rouge et MSF) via le programme PHARE (Poland and Hungary: Assistance for Restructuring their Economies) étendu à la Roumanie en 1990, mais avec une coordination chaotique qui a ouvert la porte à des abus comme ceux de SERA.
Archives déclassées Cabinet de Mr Delors-2024-ACT
Mr de Combret a promu la désinstitutionalisation en utilisant des images diffamatoires et exploitées de la situation des enfants roumains pour justifier ses actions et lever des fonds.
Il a propagé le mythe de l’abandon lié à la pauvreté : son objectif a été de détruire la Convention relative aux droits de l’enfant, pour la remplacer par la convention la haye 93 afin créer un véritable marché de l’enfants.
Cristian Tabacaru, qui a créé l’Ong SERA Roumanie et, est devenu secrétaire d’État à la Protection de l’Enfance en 1997 (nommé avec l’influence française, notamment sous la Présidence de Mr Jacques Chirac), est accusé d’avoir légalisé un trafic d’enfants via ce système.
SERA Roumanie, partenaire de CARE France touche des financements de la Commission Européenne, y compris via la Fondation Hippocrène (créée par Jean Guyot, a rejoint la banque Lazard Frères en 1955 en tant qu’associé-gérant à Paris, banquier influent, proche de la construction européenne).
François de Combret et sa femme, May de Lasteyrie du Saillant (nièce de Valéry Giscard d’Estaing), étaient des grands donateurs à la fondation Hyppocrène, avec des contributions familiales estimées à des dizaines de milliers d’euros.
Parmi ces réseaux, Arielle Malard de Rothschild, ancienne de Lazard Frères et présidente de CARE France depuis 2007 (présidente de CARE International depuis 2019), illustre les liens entre finance et humanitaire.
N’est-ce pas un moyen idéal pour blanchir de l’argent ou masquer des conflits d’intérêt, quand une fondation finance des projets liés à SERA Roumanie tout en recevant des dons d’une famille impliquée dans le scandale ?
Quels liens occultes cela cache-t-il entre élites financières, européennes et humanitaires ?
De plus, sur sa page Wikipédia de Mr de Combret, une référence à ses « comptes rendus de voyage » en Roumanie (1990-2006), présentés comme riches en éléments sociologiques sur l’abandon des enfants pré- et post-décembre 1989 et censés être aux archives CARE France, a disparu en janvier 2023. Une façon de cacher la vérité sur ses activités et le travail terrain de SERA ?
Ces élites riches et milliardaires – comme Arnault, Soros et les réseaux Lazard – ont perpétué un système qui a détruit nos vies : pertes d’identité sans réparation possible, familles biologiques brisées, traumas durables.
Comment ces puissants, avec leurs connexions politiques et financières, ont-ils pu ignorer – ou couvrir – les alertes pendant 35 ans, laissant plus de 30 000 enfants roumains comme nous dans l’ombre de l’impunité ? Leur richesse et influence ont-elles servi à protéger les coupables au détriment de nos droits fondamentaux ?
Condamné en avril 2022 à 3 ans de prison avec sursis et 1 million d’euros de confiscation pour blanchiment de fraude fiscale aggravée et abus de biens sociaux, il attendait encore une enquête de la police fédérale australienne (AFP) pour corruption dans l’affaire Simandou en Guinée.
Enfin, nous espérons que son mystérieux ouvrage Le Roi nu, annoncé depuis 2020 , paraîtra-t-il un jour?
Certes son décès nous prive de justice, mais renforce notre amertume et notre détermination, car il avait l’art d’impliquer un large réseau pour légaliser son trafic
Pour beaucoup des 30 000 victimes, c’est un trauma sans fin : perte d’identité à vie colère face à l’impunité. Aucun état ne veut ’assister les multiples victimes de ces crimes organisés.
Nous ne lâchons pas !
Rejoignez Racines & Dignité pour la vérité, les réparations et la justice.
Chez Racines et Dignité, nous nous engageons à défendre les droits des enfants et à exposer les dynamiques qui affaiblissent les protections internationales, comme la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE). Aujourd’hui, nous examinons les sources officielles d’Enfance et Familles d’Adoption (EFA), une fédération influente dans le paysage de l’adoption en France. Bien que leurs actions soient présentées comme un soutien aux familles, elles révèlent souvent une pression pour assouplir les règles, au risque de contourner les principes éthiques de la CIDE.
La Structure et le Positionnement d’EFA
EFA est une fédération regroupant 92 associations départementales et environ 6 000 familles adoptives et adoptés majeurs. Elle se définit comme un mouvement qui « prépare et guide les candidats à l’adoption » et « soutient les adoptants dans leur parentalité ». Sur leur site officiel, une section est dédiée aux « prises de position » et communiqués, où ils expriment ouvertement leur plaidoyer pour des réformes en matière d’adoption. Ce positionnement n’est pas neutre : il vise à influencer les politiques publiques en faveur d’un accès plus facile aux enfants, tant au niveau national qu’international. EFA met l’accent sur l' »intérêt supérieur de l’enfant », mais leurs propositions priorisent souvent les besoins des familles adoptives, ce qui peut entrer en conflit avec les exigences de la CIDE pour une protection stricte contre les abus.
Des documents publics qui révèlent une pression claire
L’un des exemples les plus emblématiques est leur document « 10 propositions pour une mobilisation en faveur des enfants délaissés », publié en juillet 2023. Ce PDF, accessible publiquement, exerce une pression directe sur les autorités françaises pour réformer les politiques d’adoption :
Proposition 1 : Créer une cellule nationale de soutien pour les pupilles de l’État, afin de faciliter leur placement en adoption.
Proposition 2 : Adapter les agréments pour mieux correspondre aux profils des familles et des enfants, accélérant ainsi les matching.
Ils appellent aussi à un rééquilibrage des budgets : par exemple, ils soulignent que seulement 89 000 € étaient alloués à l’adoption nationale en 2012, contre 6 millions pour l’internationale, et demandent une augmentation pour « mobiliser » plus d’enfants vers l’adoption.
Ces propositions impliquent une pression sur les institutions pour augmenter le nombre d’enfants disponibles à l’adoption, en alertant sur les 150 000 enfants placés à l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE). Ils réitèrent des recommandations non appliquées depuis 1995, issues de rapports comme ceux de Mattei ou Colombani. Bien que cela semble constructif, ce lobbying est orienté vers un accès accru aux enfants, potentiellement au détriment des efforts pour préserver les familles biologiques – un pilier de la CIDE.
Participation à des événements officiels
EFA ne se limite pas aux documents : ils participent activement à des colloques et débats officiels. Par exemple, lors d’un événement organisé par le Ministère des Affaires étrangères en 2016, Nathalie Parent, représentante d’EFA, a discuté des impacts des suspensions d’adoptions internationales (comme en République Démocratique du Congo). Ces interventions visent à plaider pour une reprise des flux d’adoptions, en minimisant les risques éthiques soulignés par des scandales passés. En 2025, EFA continue d’organiser des journées professionnelles et des webinaires, comme ceux prévus en novembre sur les pupilles de l’État, renforçant leur influence auprès des décideurs.
Pourquoi cela nous préoccupe chez Racines et Dignité
Ces actions d’EFA, bien que légales et transparentes, illustrent comment un plaidoyer « constructif » peut affaiblir les garde-fous de la CIDE. En poussant pour plus de budgets et de rapidité, ils risquent d’ignorer les causes profondes de l’abandon (pauvreté, inégalités) et les adoptés qui réclament plus de transparence sur leurs origines.
Plus récemment, un article de La Croix (juin 2025-Fin de l’adoption internationale : « On a l’impression d’être des voleurs d’enfants ») rapporte le désarroi des familles face aux fermetures, avec des adoptants se sentant « comme des voleurs d’enfants » à cause des falsifications révélées – et EFA est citée comme partenaire dans des débats sur ces « pratiques illicites », où ils plaident pour une continuité malgré les risques.
Nous appelons à une vigilance accrue : rejoignez Racines et Dignité pour soutenir des réformes qui priorisent vraiment l’enfant, pas le « marché » de l’adoption.
Partagez vos témoignages, et ensemble, défendons une enfance respectée et protégée.
Nous avons entre les mains ainsi que le parquet de Paris un document traitant des difficultés de l’adoption en Roumanie en 1982, porté par « Enfance et Familles d’Adoption » (EFA).
La place du jeu de lobby au niveau des médias télévisées est très significatif. En effet, le 23 mars 1982, l’ancien animateur Pierre Bellemare contacte l’association EFA pour une émission sur TF1 afin d’obtenir des adresses de candidats à l’adoption en Roumanie, mais face au refus et négociation de l’association, le sujet est réorienté vers l’adoption internationale. C’est Mr Marc Grivel, président de l’association qui s’exprimera en soulignant l’impossibilité d’adopter en Roumanie à cette époque et le problème des enfants séparés de leur famille.
Ce document met en lumière :
l’adoption en Roumanie est devenue très compliquée, voire impossible depuis 1982.
le nombres conséquent de dossiers d’adoption en constitution et attente. Mr Christian Godde* secrétaire général d’EFA rencontra fin mars des officiels du Ministère des Relations Extérieures pour évoquer les 464 dossiers en cours (150 au Conseil d’État, 350 en constitution) tout en précisant que « les enfants, souvent âgés ou en mauvaise santé, attendent parfois depuis un an et demi, affectant leur comportement. Une action humanitaire est proposée, sans marchandage, priorisant les cas urgents et limitant les nouveaux départs«
et leur coopération avec le consulat de France à Bucarest et le collège des avocats roumains.
Enfin, le ministère exclut une intervention globale, favorisant une aide cas par cas, et insiste sur des mises en garde (D.D.A.S.S., consulat, ambassade) pour stopper les candidatures. EFA prévoit de collecter des données pour des actions ponctuelles. Le sujet sera discuté au Conseil Supérieur de l’Adoption en mai 1982, où siège Mademoiselle Larchevêque du Service Social International (SSI), aux côtés de Mme Dufoix, M. Regnault, et M. Grivel. Le SSI, impliqué dans l’adoption internationale, pourrait jouer un rôle dans l’évaluation des besoins et la coordination des efforts humanitaires. EFA encourage les familles à adhérer pour un suivi.
Le Service social International (SSI) est mentionné comme partie prenante au Conseil Supérieur de l’Adoption, instance clé pour aborder les problématiques soulevées. Historiquement, le SSI (créé en 1924) aide à protéger les enfants dans des contextes transnationaux, notamment via des conseils sur les adoptions internationales. En 1982, son expertise aurait pu soutenir EFA en fournissant des données sur les enfants roumains ou en facilitant des solutions conformes aux normes internationales, bien que le document ne détaille pas son action précise ici.
Pour rappel : Le SSI est une influence américaine qui s’est installée en France et a littéralement construit un système pour légaliser le trafic d’enfants dès la 2nde guerre mondiale. De plus SSI a poussé à la mise en place la Convention de La Haye de 1993 (droit privé) sur l’adoption et les lignes directrices sur la protection de remplacement. SSI a poussé les états pour qu’ils ratifient cette convention.
Aucun pays de l’Union Européenne ne devrait exporter d’enfants. C’est contre la Convention des Nations Unies relative aux Droits de l’Enfant qui est le socle juridique des États membres de l’UE.
*Mr Godde est co-fondateur avec sa femme Mme Brigitte godde de l’OAA Enfance et Avenir
« Derrière les pressions, il y a un marché horrible et gigantesque dicté par l’argent. Dans nos sociétés modernes, lorsqu’une personne fait un achat, elle exige le meilleur, la meilleure qualité, le modèle parfait. C’est malheureusement similaire pour les enfants. » C’est ainsi que Mme Emma Nicholson, ancienne rapporteure du Parlement européen pour la Roumanie (2000-2004), décrivait les dérives du marché de l’adoption internationale dans le documentaire « Adoption : les dessous d’un trafic » de Hubert Dubois en 2004.(1) Elle a été de suite remplacée par M. Pierre Moscovici.
Le mardi 12 novembre 2024, Arte diffusera le documentaire intitulé « Adoption, un scandale planétaire ». Derrière ce titre sensationnaliste, probablement influencé par les lobbies pro-adoption, l’objectif semble être de masquer les véritables enjeux, en exposant uniquement une partie visible de l’iceberg. Les manœuvres des acteurs du lobby de l’adoption continuent de manipuler l’opinion publique, sous couvert d’un changement de ton.
Les scandales de l’adoption sont pourtant dénoncés depuis plus de deux décennies, notamment par les adoptés eux-mêmes, victimes de trafics illicites, comme Tinan Le Roy (2) Le documentaire de 92 minutes donne la parole à des adoptés exprimant leur colère face aux mensonges découverts, tout en présentant des actions menées dans divers pays, notamment au Chili, en Corée du Sud et au Sri Lanka. Les deux réalisatrices ont invité des adoptés, des familles adoptives (qui disent qu’elles étaient ignorantes de la nature frauduleuse des adoptions, même si elles ont donné beaucoup d’argent), des historiens, des responsables politiques, ainsi que des membres du lobby de l’adoption – présents dans les génériques pro-Conventions de La Haye – et Olivier de Frouville, président du Comité des disparitions forcées des Nations Unies. Il évoque la déclaration du 29 septembre 2022, qui reconnaît que les adoptions internationales illégales peuvent, dans certaines circonstances, constituer des crimes contre l’humanité et offrir aux victimes un droit à la vérité, à la justice et à la réparation.
Néanmoins, notre collectif Racines et Dignité déplore l’omerta persistante autour des trafics d’enfants roumains, un sujet bien connu depuis les années 1990, mais évoqué de manière superficielle dans le documentaire, avec seulement quelques secondes d’attention. Depuis 2022, des victimes nées en Roumanie, arrivées avec des visas médicaux temporaires et parfois mutilées, ont déclenché des enquêtes judiciaires en France et en Belgique.
Plus révoltant encore, le documentaire semble faire la promotion de la Convention de La Haye de 1993, au détriment de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant (CIDE), qui reste pourtant la base juridique primordiale et universel. Cette distorsion, renforcée par l’interview de Hans Van Loon, acteur clé de la mise en œuvre de la Convention de La Haye. Tout semble orchestré pour affaiblir les protections offertes par la CIDE.
Pour rappelle après plusieurs visites en Roumanie, le 5 Avril 1991, un groupe de 5 experts sur l’initiative l’ISS (International Service Social) et Defence for Children International publie un nouveau rapport intitulé « L’adoption des enfants roumains par des étrangers » M. Nigel Cantwel et M. Hans Van Loon étaient au centre de ce rapport qui a servi à la création de la Convention de La Haye du 29 mai 1993 sur la protection des enfants et la coopération en matière d’adoption internationale.(3)
Ce groupe d’experts, propose un plan d’action avec une proposition de loi pour contrer l’article 21 b de la CIDE notamment que l’adoption doit redevenir un acte de protection de l’enfance.
Lors d’une interview de Diana Kunz (Avocate, mère adoptive américaine-lobbyste) dans un podcast du 13 mai 2024 sur MATTER (4) précise clairement que l’adoption internationale selon la CIDE n’est autorisée qu’en dernier recours si l’enfant ne peut pas être pris en charge de manière approprié dans son pays d’origine, son pays de naissance (article 21B). Pour contrer ce traité, la Convention la Haye a été rédigée pour faciliter l’adoption internationale (5).
Il convient de rappeler que, selon cette convention, l’adoption internationale ne doit être envisagée qu’en dernier recours, lorsque toutes les options dans le pays d’origine de l’enfant ont été épuisées (article 21b).
Le contournement de la CIDE socle juridique et universel est un véritable crime contre l’humanité.
Le rapport Gouzes, « Pour une éthique de l’adoption internationale », publié en novembre 2001 (6), mettait déjà en lumière l’existence d’un marché d’enfants, encouragé par un système d’adoption internationale délégué au secteur privé, sans réel contrôle par les autorités roumaines. Si évoquer les scandales est crucial, il serait tout aussi nécessaire de reconnaître ce qui fonctionnait et a été détruit par des lobbies influents.
Dans le cadre de son adhésion à l’Union européenne le 1er janvier 2007, la Roumanie avait instauré un moratoire, en juin 2001, sur les adoptions internationales, face aux trafics d’orphelins apparus après 1990. Il est indigne qu’une chaîne télévisée franco-allemande ignore les efforts entrepris par la Commission et le Parlement européens depuis les années 1990 pour soutenir la protection de l’enfance en Roumanie.Les pressions ont été tellement extrêmes que les positions de la Commission Européenne et du Parlement Européen ont fortement changé.
Plus scandaleux encore est le silence autour des progrès accomplis par la Roumanie dans ce domaine, avant leur détérioration due aux pressions des lobbies favorables à l’adoption internationale.
Le 22 mars 24 un nouveau courrier avec des informations nouvelles sur une clef USB ont été adressés à M. Ville Itälä Directeur d’OLAF pour une demande de réouverture d’enquête sur le conflit d’intérêts de Mme Georgeta Luminita Nicolaie- Directrice de l’IDOC.
Après deux relances, le 25 avril, le 29 avril et sans réponse, une plainte été déposé pour mauvaise gestion administrative au Comité de Surveillance de l’OLAF.
Nous apprendrons que le Comité de Surveillance n’est pas habilité à traiter des plaintes individuelles contre l’OLAF, et nous conseille de porter plainte auprès du Médiateur européen.
Une plainte été introduire à la Médiatrice Européenne Mme Emily O’Reilly le 29 mai.
Miracle ! Nous recevons une réponse de l’OLAF le 4 Juin 2024
L’OLAF a conclu qu’il n’y avaient pas d’éléments nouveaux pour justifier la réévaluation et prend d la décision de rejeter l’affaire.
La réponse d’OLAF démontre encore une nouvelle fois une forme de complaisance ou d’indifférence face aux injustices ou aux problèmes importants.
Il est succulent de voir que ce courrier a été signé par une Mme Romana Panait, une roumaine qui a soutenu en décembre 2013 sa thèse de doctorat à Paris sur « La lutte contre la criminalité transnationale organisée comme reflet du processus d’adhésion de la Roumanie à l’Union européenne« .
Nous lui avons demandé qu’elle nous l’adresse et attendons de la lire vivement !