Discours du 2 février 2017
Jean Marie Cavada soutient un rapport sur la reconnaissance automatique des adoptions dans l’UE, soulignant l’importance du bien-être de l’enfant et la contradiction résolue par rapport à la libre circulation des biens et des personnes.
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Jean Marie Cavada exprime son soutien au rapport sur la reconnaissance automatique des adoptions dans l’Union Européenne.
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Introduction et remerciements aux intervenants.
Cavada souligne la qualité du travail effectué par le rapporteur.
Il soutient pleinement le rapport visant à faciliter les adoptions au sein de l’Union Européenne.
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Jean-Marie Cavada aborde les défis de l’adoption au sein de l’Union Européenne, soulignant l’importance de garantir le bien-être des enfants adoptés.
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Les parents adoptifs font face à des difficultés au sein de l’Union Européenne.
L’Union Européenne a réussi à résoudre la libre circulation des biens et des capitaux, mais pas celle des enfants adoptés.
Cavada exprime son soutien pour les mesures visant à améliorer la situation des enfants adoptés.
Il souligne que le rapport prend en compte le bien-être supérieur de l’enfant.
Pour bien comprendre
Traiter les enfants comme des « marchandises » qui peuvent circuler librement au sein de l’UE pour l’adoption consiste en fait à réduire ces êtres vulnérables à de simples objets d’échange. Cela va évidement à l’encontre du principe fondamental selon lequel l’intérêt supérieur de l’enfant doit toujours primer.
Contournement des lois nationales
Permettre la libre circulation des enfants pour l’adoption a été le moyen de contourner les lois nationales plus strictes en matière d’adoption dans certains pays. Cela soulève des questions éthiques et juridiques importantes.
Négligence extrêmement grave des droits de l’enfant
Une telle approche montre le cynisme du lobby de l’adoption et la négligence des droits fondamentaux de l’enfant, notamment son droit à connaître ses origines et à maintenir des liens avec sa culture d’origine.